L’instinct de survie, en quelque sorte. La
survie de votre âme, de votre éducation et de vos valeurs !
Dernièrement, une phrase a provoqué une
réaction en chaîne qui contrebalance le manque d’humanité et d’éducation de la
personne qui a prononcé ces mots.
Il est rare de rencontrer des personnes qui
sont censées être humainement investies dans le domaine social mais démontrent
une aptitude diamétralement opposée. Le manque d’éducation quand il en vient à
être une marque inintelligente et méprisante envers « le bas peuple »,
est d’autant plus préjudiciable et inacceptable.
Il est intolérable également de juger les
autres sur un acte qui ne reflète pas leurs qualités intrinsèques. Il est
facile de juger et mépriser les autres quand on s’accorde tous les mérites et
les valeurs ajoutées.
A trop vouloir se montrer remarquable, on en
devient hideux.
En sus, la courtoisie, la reconnaissance et
les valeurs humanistes ne s’achètent pas !
Pour en revenir à la phrase, j’ai beaucoup ri,
je dois vous l’avouer !
J’ai, toutefois, été sidérée et amusée par
cette phrase que j’ai trouvée, étonnamment, discourtoisement pathétique.
Il faut dire que ladite phrase était
antinomique ; Au début, il était question de classe, de vertus propres à
un environnement. A la fin, l’expression particulièrement cavalière et très
familière dénotait un manque évident de retenue qui sied, normalement, à ce
« niveau ».
Chassez le naturel, il revient au galop ?
Employer une expression familière infamante
comme pour rabaisser les personnes touchées est, non seulement, odieux mais
insultant.
Il est difficile de croire qu’une personne
puisse se prévaloir de connaître une autre sans avoir, a minima, discuter des
intérêts ou de l’action effectuée antérieurement.
Il est étonnant de voir ainsi qu’une personne
qui se prévaut « d’une haute classe »
puisse parler comme le « commun des
mortels » et ne pas être capable, face aux égarements du « bas peuple », de « s’asseoir dessus ».
Peut-être dit-on encore chez cette personne,
comme on l’énonçait en 1927, « les
valets, je m’assieds dessus »…
Désolée, comme on dit « chez moi » : « les valets n’ont cure de votre morgue, ils
vous abhorrent. »
Visiblement nous n’appartenons pas à la même
caste !
No comments:
Post a Comment
N'hésitez pas... tous les auteurs aiment les commentaires....